Le langage écrit permet de communiquer et, bien sûr, d’exprimer ses sentiments, cette expression se traduisant dans la mise en forme des lettres plus ou moins réussie en fonction, entre autres, du degré de maturité affective de l’enfant.

Former les lettres, c’est mettre en forme ses sentiments, dévoiler ou non son besoin affectif, passer de l’image à « la forme », épanouir ou pas son identité,  révéler ses peurs, laisser si tel est le cas, émerger son anxiété, ou sa joie ! 

Le dessin, première trace écrite de l’enfant, permet à ce dernier d’appréhender l’apprentissage de l’écriture qui devient pour lui un moyen d’exprimer ses émotions mais en les canalisant, en étant obligé de respecter des codes établis. 

Cela induit une structuration de la pensée, afin de communiquer avec autrui, c’est le passage obligé de tout individu qui veut acquérir des connaissances et les retransmettre.
C’est un lien indéfectible entre le passé et l’avenir. 
L’écriture demeure le support durable de notre « HISTOIRE », moins éphémère que la transmission orale.


Il s’agit de donner un sens à l’écriture et à la lecture, en passant par le plaisir à travers le «  faire », montrer aux élèves qu’il s’avère nécessaire d’ appréhender la structure des écrits et travailler le fond afin de pouvoir améliorer la forme.

Être Graphothérapeute : pour quoi ? pour qui ?

Prendre en considération la relation parent-enfant, enfant-enseignant, chercher des solutions et remédiations et surtout comment parvenir à les faire appliquer !

Avoir la compréhension  des répercussions des troubles «DYS» : dyscalculie, dysorthographique, dyslexie, dyspraxie… sur le comportement de l’enfant, ses résultats scolaires et l’écrit.